![]() |
![]() |
Capriol & Compagnie |
![]() |
![]() |
Accueil |
Présentation |
Production |
Pédagogie |
Ecouter-Voir |
Contact |
Aller directement à la partie traitant de : ..........................
Diffusion et propositions
pédagogiques pour les établissements de
l’enseignement général Les arts et les sciences sont pour le présent
entre les mains des Grecs et des Latins. Mais il se devrait faire à l’avenir qu’on pût
parler de toute chose, par tout le monde et en toute langue. Capriol & Cie
apporte des réponses à la question que pose l’éducation
artistique et culturelle En réponse à la réaffirmation de l’éducation
artistique et culturelle comme dimension forte de
l’enseignement et conformément au plan interministériel en
œuvre depuis 2008, Capriol & Compagnie propose une
large palette d’interventions et collaborations avec les
établissements d’enseignement général du primaire et du
secondaire. Cet éventail de propositions se décline du projet
d’une unique journée à celui se déployant sur une année
scolaire complète. Les dispositifs peuvent être ceux des ateliers
artistiques, des classes à projet artistique et culturel,
classes culturelles, résidences ou encore partenariats.
Reposant sur le travail conjoint des enseignants et des
artistes qui croisent leurs compétences et leurs approches sur
un même sujet, le partenariat enrichit les perspectives
pédagogiques. Une action en
coordination avec celle des professeurs L’action de Capriol et Compagnie a vocation
à se coordonner avec celle des professeurs des écoles d’une
part, des professeurs de musique, de français, littérature,
histoire et technologie (imprimerie musicale, organologie et
fonctionnement des instruments) ou physique acoustique des
collèges et lycées d’autre part. Le répertoire de
Capriol & Cie entretient des liens puissants
avec l’histoire du XVIe
siècle d’une part, avec Clément Marot, Louise Labé,
Pierre de Ronsard et les autres poètes de la Pléiade d’autre
part. Et ni Rabelais ni Montaigne ne sont jamais loin. Enfin, la facture instrumentale spécifique des
instruments de percussions, de la viole de gambe, de
l’épinette et des vielles à roue est une entrée
particulièrement vivante dans la technologie, l’organologie et
le volet acoustique de la physique. Un éventail de
propositions Capriol
& Cie propose ·
une
pratique musicale précisée ci-après ·
un
échange avec les élèves la Renaissance et l’esprit de
l’Humanisme ·
un
échange avec les élèves sur les textes du répertoire ·
un
échange avec les élèves sur les instruments ·
un
échange avec les élèves sur les conditions et la vie de
l’ensemble ·
un
concert et/ou un bal Sur le
plan musical et chorégraphique, le programme pédagogique
permet -
d’effectuer
un travail de base concernant la pulsation et le sens
rythmique -
d’effectuer
un travail de base concernant les phrases musicales et les
carrures -
d’effectuer
un travail de base concernant la latéralisation, le sens de
l’espace, la perception physique du groupe -
d’apprendre
un répertoire de chants à répondre et à danser -
d’aborder
la polyphonie de la Renaissance selon le niveau du groupe -
de
développer la mémoire auditive -
de
s’initier à la danse Renaissance -
de
découvrir directement et personnellement des œuvres de
référence -
de
stimuler et affiner les sens auditif et kinesthésique -
de
développer un contact avec les réalités immatérielles,
l’imaginaire sonore -
de
pratiquer des jeux musicaux stimulant l’écoute et
l’improvisation à partir des pièces abordées -
de
faire la connaissance d’instruments rares -
de
comprendre le fonctionnement de base des instruments -
d’observer
des reproductions de partitions originales et s’initier à leur
lecture -
d’enrichir
les connaissances stylistiques de cette époque grâce à des
enregistrements complémentaires et des analyses comparatives
d’écoute -
enfin
de préparer et réaliser un bal Renaissance au sein de
l’établissement Le projet permet aux collégiens et lycéens de
s’informer sur les métiers liés aux domaines des arts et de la
culture. Un projet sur mesure En ce qui concerne l’école élémentaire, Capriol
& Compagnie se tient à la disposition des
enseignants ainsi que des intervenants en milieu scolaire pour
cerner et affiner le projet de l’établissement ou de la classe
et en étudier ensemble les modalités pédagogiques et
organisationnelles. De la même manière, l’ensemble Capriol &
Compagnie est prêt à étudier les projets des différents
établissements de l’enseignement secondaire avec l’ensemble du
corps enseignant, les responsables et les personnes chargées
de l’action culturelle.
..........................Diffusion et propositions pédagogiques pour les établissements de l’enseignement spécialisé Il n'y a
point de sorte de musique plus propre
à former le goût et à faire
sentir les différents mouvements, que les
airs à danser. Michel Pignolet de Montéclair, Principes
de
musique, 1736 Publié par Jehan Tabourot en 1589, l’Orchésographie,
fait dialoguer le maître Thoinot Arbeau -dont le nom est
l’anagramme de l’auteur- et Capriol, son élève. Rempli
d’enthousiasme et de curiosité, qualités qui portent
l’individu de la Renaissance à découvrir, créer et échanger,
le sieur Capriol n’a de cesse de savoir danser pour accéder à
l’harmonie du corps et de l’esprit, et devenir un « honnête
homme ». Dans le sillage de cet humaniste qu’est Arbeau,
l’ensemble Capriol et Cie réserve une place importante
à la transmission. En réponse aux structures d’enseignement
qui s’engagent dans la pédagogie au travers des projets et/ou
du travail collectif, l’ensemble
propose une large palette d’interventions et collaborations
ayant pour base le répertoire de la musique profane de la
Renaissance. En prenant appui sur les apprentissages fondamentaux
–immobilité/mouvement, pesanteur/légèreté, lenteur/rapidité,
contrainte/liberté, peur/joie, tendresse/violence, Capriol
& Cie propose un aller-retour incessant entre
musique et danse pour former « l’oreille,
le corps, des facultés intellectuelles de systématisation,
de synthèse, les mémoires, une certaine relation
mathématique avec l’univers, la communication, la maîtrise
des codes et leurs transgressions, le plaisir, le plaisir
qui s’apprend, se perfectionne et guide parfois l’apprenti
musicien ou danseur vers la rencontre de lui-même et de son
âme. »[1] L’oreille étant le moteur des musiciens et des
danseurs, c’est à partir de l’écoute que sera organisé
l’échange. Jouer en relation avec les danseurs comme danser en
symbiose avec la musique demandent la maîtrise du tempo, la
conscience d’un certain type d’impulsion, la réponse du corps
aux oreilles. « On a besoin de cours de musique et de danse, c’est-à-dire d’un travail
des mouvements qui unissent deux positions et qui sont
sollicités par le discours musical, mouvements qui sont
eux-mêmes musicaux. »[2] Apprentissage des chants et danses, lien entre
musique et danse, jeux vocaux et musicaux, improvisation,
connaissance du répertoire vocal et instrumental, sources
musicales, moyens de transmission, découverte des instruments,
passerelles entre les différents arts, cet éventail de
propositions ne vise pas la seule pratique du style spécifique
de la Renaissance mais également et principalement la
formation globale du musicien d’une part, l’enrichissement de
la culture, la stimulation de la curiosité et de l’ouverture
d’autre part. Patrimoine, improvisation et
création Transgresser
employé ici n’est pas désobéir,
c’est passer outre. Claude-Henry Joubert « Le musicien
ou le danseur doit être à la fois lui-même et l’autre, celui
qui dicte et celui qui obéit, celui qui pense et celui qui
agit, celui qui réfléchit sa
pratique.
Ça n’est pas jouer un double jeu ou mener une double vie,
c’est être entier et responsable. »[3] « Les
données
essentielles de la musique et de la danse comme
l’improvisation, l’interprétation ou la créativité ne
doivent jamais être remises à plus tard. Un enfant [un
adolescent, un adulte] est capable
de réaliser beaucoup d’actions musicales pour lesquelles on
ne le sollicite parfois que rarement. »[4] Comme bien d’autres types d’écriture, la polyphonie
fut avant tout improvisation. Afin d’expérimenter les rapports
qui constituent le langage musical - rapports entre les
hauteurs, les durées, les timbres, les attaques, les
caractères, les intensités…- Capriol & Cie propose un
va-et-vient entre les textes musicaux et chorégraphiques du
XVIe siècle d’une part et la pratique de
l’improvisation d’autre part. Citons ici encore Claude-Henry
Joubert : « Utiliser
méthodiquement l’improvisation qu’il conviendrait d’appeler,
pour être correct et réaliste, une certaine libération par
rapport à l’écrit, disons un bricolage.
Car c’est bien de familiarité qu’il s’agit et l’intimité
qu’on voudrait connaître près de [Janequin,
Costeley, Arbeau ou Berio] a besoin de franchise, de franc-parler, d’audace et
même d’effronterie… Il s’agit donc ici d’utiliser l’outil précieux de
l’analyse pour travailler de façon globale, appréhender
l’œuvre dans son intégrité, discerner et se saisir des
paramètres principaux du tissu musical et chorégraphique, afin
de tour à tour isoler et réunir ces paramètres pour les
proposer comme bases du jeu et de l’improvisation. Le patrimoine est donc pratiqué non comme pièce de
musée mais comme source fraiche à laquelle s’abreuver, d’une
part pour enrichir notre palette de goûts et mieux comprendre
d’où vient notre époque, mais encore pour éclairer une facette
de nous-même et stimuler la création. Comme aux XVIe,
XVIIe et XVIIIe siècles, il est
essentiel de remarier le répertoire avec l’invention, la
composition et l’improvisation. Capriol & Cie propose deux types de
pratiques complémentaires : ·
L’improvisation
dans le style o
En
danse : §
Les
ouvrages Ad suos compagnones studiantes
du juriste Antoine Arena, mais surtout
l’Orchesographie
de Thoinot Arbeau/Jehan Tabourot donnent des renseignements
précieux sur les manières de danser et « découper » les
pièces. Il s’agit ici de s’approprier des éléments du langage
chorégraphique d’ornementation pour les utiliser
individuellement au sein des danses, ou encore d’inventer avec
les éléments répertoriés et assimilés une chorégraphie à
partir d’une musique de danse. o
En
musique : §
L’art de
la diminution : Technique d’ornementation mélodique, la
diminution repose sur la division d’une note en une série de
notes plus rapides. Les traités de Diego Ortiz (Tratado
de glosas, 1553, Rome) et Giovanni Battista Bovicelli (Regole, passaggi de
musica, 1594, chez Vincenti, Venise) sont des mines d’or
à ce sujet. §
L’initiation
au « chant sur le livre » : À partir d’exemples simples de
théoriciens comme Tinctoris, la proposition est de faire les
premiers pas dans le contrepoint improvisé. L’oreille,
l’oreille, encore l’oreille ! §
L’art de
la percussion : En musique de la Renaissance, s’il existe des
partitions instrumentales ou vocales, rien n’est noté pour la
percussion. Encore une fois, Arbeau innove en proposant le
premier traité en la matière avec l’un des chapitres de son
inestimable Orchesographie.
À partir des éléments disponibles, le rôle du percussionniste
est donc ici essentiellement un travail de création et
d'improvisation basé sur le jeu des autres instruments et
celui des danseurs. L’oralité rejoint ici l’écrit dans un
équilibre en constante recherche. §
Les arts
du ricercare et du ground :
Le mot de ricercare
qui signifie « rechercher » indique l’orientation générale de
ce genre allant du style libre au style imitatif strict. Pour
sa part, en explorant le travail avec une ligne de basse, la
pratique du ground
permet la patiente construction de l’écoute verticale. ·
L’improvisation
hors style et l’improvisation dite générative o
En
danse : §
Jeux avec
et dans l’espace : À partir des structures formelles des
pièces, Isabelle Diverchy propose des jeux d’invention mettant
en relief tel ou tel paramètre d’une part, stimulant la
relation entre danseur et musicien d’autre part. §
En
relation avec les professeurs de danse contemporaine, il
s’agira de travailler sur l’esprit des éléments des danses
anciennes et leur lien avec les courants actuels. o
En
musique : §
Jeux avec
et dans l’espace : À partir des structures formelles des
pièces, Isabelle Diverchy propose les mêmes chemins et
processus qu’aux danseurs, soit des jeux d’invention mettant
en relief tel ou tel paramètre d’une part, stimulant la
relation entre danseur et musicien d’autre part. §
En
faisant suite au travail précédent qui favorise l’écoute et la
prise de risques, en se basant sur le travail mené par Alain
Savouret dans sa pratique et ses écrits (« Introduction
à un solfège de l'audible »), Isabelle Diverchy se base
sur sa propre pratique de l’improvisation et sa formation de
trois ans pour proposer une initiation à l’improvisation dite
générative. §
En
prenant comme base les possibilités spécifiques de chaque
instrument : Ce travail fera se fera en prenant appui sur un
certain nombre de pièces contemporaines, les Sequenze
de Luciano Berio, Récitations
de Georges Aperghis, l’œuvre de György Ligeti, celle de György
Kurtag et d’autres encore. Il est à noter qu’Ingrid Blasco a
créé en 2013 le spectacle Les Trois ours, pour vielle à roue et dispositif électro-acoustique.
Cette création comportant une large part d’improvisation est
présentée dans un document joint. Le nez dans le moteur Les arts et les sciences sont pour le présent
entre les mains des Grecs et des Latins. Mais il se devrait faire à l’avenir qu’on pût
parler de toute chose, par tout le monde et en toute langue.
Des musiciens et danseurs
avec des oreilles et un corps en état de marche Sur le plan de la formation générale du musicien et
du danseur, les propositions pédagogiques de l’ensemble Capriol
& Cie -
donnent
à l’oreille et au corps leurs fonctions fondamentales dans le
processus d’apprentissage de la musique et de la danse[5] -
suggèrent
une pratique conjointe des danseurs et des musiciens -
engagent
un travail de base concernant la pulsation et le sens
rythmique -
engagent
un travail de base concernant la latéralisation, le sens de
l’espace, la perception physique du groupe -
stimulent
et affinent les sens auditif, visuel, tactile et kinesthésique -
engagent
la transmission orale et développent la mémoire auditive -
font
pratiquer des jeux musicaux offrant la possibilité d’analyser
et manier les différents paramètres du son -
font
pratiquer le chant dans un processus corporel global -
donnent
toute leur place à l’improvisation à partir des éléments, des
structures, danses et pièces abordées. Les mains dans le
cambouis Ces propositions permettent en outre -
de
prendre conscience sur les plans auditif et kinesthésique des
mesures à deux, trois et quatre temps, de la différence entre
binaire et ternaire ainsi que des carrures et des phrases -
de
pratiquer l’improvisation rythmique, mélodique et polyphonique -
de
s’initier à l’improvisation générative -
de
prendre conscience des modes mélodiques, de l’écriture
polyphonique modale et de l’imminence des premiers assauts du
système tonal -
de
s’initier à et pratiquer la polyphonie. Une affaire de style Sur le plan stylistique, les propositions
pédagogiques peuvent permettre -
d’apprendre
un répertoire de chants à répondre et à danser -
de
s’initier et pratiquer la danse Renaissance -
de
découvrir directement et personnellement des œuvres de
référence dans le domaine musical mais aussi dans celui des
arts visuels et des arts de l’espace -
de
faire la connaissance d’instruments rares -
de
comprendre le fonctionnement de base des instruments et
s’initier à l’organologie -
d’observer
des reproductions de partitions originales et s’initier à leur
lecture -
d’enrichir
les connaissances stylistiques de cette époque grâce à des
enregistrements complémentaires et des analyses comparatives
d’écoute -
de
s’initier voire pratiquer l’art de l’ornementation et de la
diminution -
d’avoir
accès à des traités de la Renaissance -
d’apprendre
où chercher les partitions originales et les documents
musicaux -
enfin
de préparer avec les élèves et réaliser un bal Renaissance au
sein de l’établissement. Sur les pas d’Antoine
Arena et Thoinot Arbeau En danse, Capriol & Cie propose une étude des
domaines suivants : -
branles
simples, doubles et coupés, soit les phrases à 8 temps, à 6
temps, les danses aux phrases irrégulières -
« découpes »
ou ornementations chorégraphiques -
branles
dits « régionaux » : branle d’Ecosse, de Poitou… -
branles
morgués : branle des pois, des lavandières etc. -
allemande
et saltarello -
pavanes
régulières et irrégulières, autres pas, pavane d’Espagne, -
gaillarde,
enchaînements de cinq pas, enchaînements de onze pas -
basse
danse Quels interlocuteurs,
quels alter ego ? Plus particulièrement adaptée à l’enseignement
semi-collectif et/ou collectif, l’action de Capriol et
Compagnie se coordonne avec celle des professeurs de
formation musicale, de chant, de danse, d’instruments, de
musique de chambre instrumentale et/ou vocale, de chœur et
d’orchestre. Un jour, deux jours, un
mois, un an Ces propositions d’interventions déclinant toutes
les possibilités d’une unique journée à une année scolaire
complète, Capriol & Cie se tient à la disposition
des équipes de direction et des équipes pédagogiques pour
cerner et affiner le projet de l’établissement ou de la classe
et en étudier ensemble les modalités pédagogiques,
organisationnelles et budgétaires. Un gâteau avec plusieurs
cerises Sur le plan artistique, l’ensemble Capriol &
Cie mène des bals Renaissance et propose plusieurs
programmes de concerts. Ses papilles de Capriol & Cie
se souviennent des festins du XVIe siècle. En
relation avec plusieurs cuisiniers, la dernière proposition de
l’ensemble est bel et bien le bal et son banquet Renaissance. [1] Claude-Henry Joubert, Enseigner
la
musique : l’état, l’élan, l’écho, l’éternité, Éd.
Van de Velde, 1996, p. 18 [2] Claude-Henry Joubert, Enseigner
la
musique : l’état, l’élan, l’écho, l’éternité, Éd.
Van de Velde, 1996, p. 37 [3] Claude-Henry Joubert, Enseigner
la
musique : l’état, l’élan, l’écho, l’éternité, Éd.
Van de Velde, 1996, p. 24 [4] Claude-Henry Joubert, Enseigner
la
musique : l’état, l’élan, l’écho, l’éternité, Éd.
Van de Velde, 1996, p. 37 [5] « Prôner ce retour du
corps, de « l’enthousiasme », de la violence n‘est pas
désavouer Orphée, c’est « remettre au centre », au centre du chœur,
au centre de la danse, au centre de nous-mêmes. »
Claude-Henry Joubert, Enseigner
la musique : l’état, l’élan, l’écho, l’éternité, Éd.
Van de Velde, 1996, p. 129 ..........................Atelier de danse RenaissanceCapriol & Compagnie propose un atelier bi-mensuel de danse de la Renaissance depuis septembre 2012. Cet atelier est ouvert à tous, débutants comme initiés. Il a lieu les mercredis soir de 20h15 à 22h15. Dates de la saison 2014-15 :
Lieu : salle
Aubépine de Servel à Lannion (ancienne école) |